4 juin 2012
Le secret du coffre bleu de Lise Dion
Résumé :
C’est seulement après la mort de sa mère, en vidant l’appartement de celle-ci, que Lise Dion a finalement pu ouvrir ce mystérieux coffre qui l’avait tant fascinée pendant toute son enfance. « J’y ai trouvé une photo d’elle, en religieuse, son rosaire, son missel… »
Elle y a aussi trouvé des documents jaunis datant de 1940 expliquant à Mlle Martel, en français, qu’elle était désormais détenue. « Vous ne devez plus quitter votre appartement, on viendra vous chercher. »
D’autres papiers, écrits en allemand ceux-là, retraçaient son périple de prisonnière des Allemands : Besançon, puis Vittel, et, finalement, le sinistre camp de travail de Buchenwald…
« À l’adolescence, je savais que ma mère avait été prisonnière pendant la guerre, mais je ne pouvais pas vraiment imaginer les horreurs qu’elle et les autres y ont subies », dit-elle.
« Les gens qui ont vécu ce cauchemar sont souvent réticents à en parler, dit-elle. Ça ne servait pas à grand-chose de lui poser des questions.
Peut-être aussi voulait-elle me protéger de ces horreurs ? »
Elle y a aussi trouvé des documents jaunis datant de 1940 expliquant à Mlle Martel, en français, qu’elle était désormais détenue. « Vous ne devez plus quitter votre appartement, on viendra vous chercher. »
D’autres papiers, écrits en allemand ceux-là, retraçaient son périple de prisonnière des Allemands : Besançon, puis Vittel, et, finalement, le sinistre camp de travail de Buchenwald…
« À l’adolescence, je savais que ma mère avait été prisonnière pendant la guerre, mais je ne pouvais pas vraiment imaginer les horreurs qu’elle et les autres y ont subies », dit-elle.
« Les gens qui ont vécu ce cauchemar sont souvent réticents à en parler, dit-elle. Ça ne servait pas à grand-chose de lui poser des questions.
Peut-être aussi voulait-elle me protéger de ces horreurs ? »
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