Cool Water de Dianne Warren
Résumé :
Rien ne semblait lier les habitants de Juliet, au Canada, mais il suffira d'une nuit et d'un jour pour que leurs destins se croisent et basculent.
Les attentes, les peurs et les rêves se mêlent, à l'Oasis Café, unique lieu de rencontre d'une ville de 1011 âmes ou il ne se passe jamais rien. Un jour, pourtant, surviennent dans la vie de certains habitants des événements qui vont influencer à jamais celle de leurs voisins. Dans ce décor faussement calme, les langues se délient, les conflits latents explosent, les existences se transforment, pour le meilleur et pour le pire...
Une galerie de personnages inoubliables qui évoluent dans un paysage à couper le souffle, pour un roman choral maîtrisé à la perfection.
Année de parution française : 2012
Année de parution originale : 2010
Titre VO : Cool Water
Mon avis :
Cool Water fait parti des nombreux livres de cette rentrée littéraire 2012, et je ne sais pas pourquoi, d’emblée j’ai été attirée par le titre et par la couverture de ce roman.
J’ai d’abord été surprise que l’action se passe au Canada. Pour moi le Canada, c’est un peu le pole Nord, j’imagine des forêts enneigées, et des températures glaciales. Cool Water, c’est tout le contraire, ce sont des fermes perdues au milieu de déserts arides, des cow-boys, des ranchs, presque de quoi se croire dans l’ouest Américain.
J’ai aimé ce livre, même si ce n’est pas une grande révélation. L’écriture est très agréable, mais il manque un je ne sais quoi d’excitant dans ce roman. Cool Water est un roman étagé en plusieurs chroniques ; certaines sont très émouvantes, d’autres un peu plus rythmées, mais certaines ont moins d’intérêt je trouve. Mais ce qui m’a réellement dérangé c’est qu’il manquait un fil conducteur reliant les différentes histoires entre-elles. Or le seul point commun entre les différentes chroniques sont que tous les personnages de ce roman habite la même ville de Juliet, petite bourgade du Canada, touchait par la crise.
Ce n’est certes pas un roman d’aventure ou un thriller, mais ce n’était tout de même pas assez « épicé » à mon goût.